Voila depuis 4 ou 5 Jours, mon rouge gorge, qui normalement devrait déjà être parti pour ses vacances d'été est toujours là. De plus il arbore une livrée peu commune. A vous d'en juger aux vues des photos si dessous.

 Si l'un d'entre vous à une explication qui justifierait cet ébouriffement, merci de me laisser un commentaire.

 Sur le fait de sa présence dans le jardin fin Avril je pense qu'il faut mettre ça sur le compte de la météo vraiment peu clémente en ce moment.

   Ce lundi de Pâques, malgré un temps maussade toute la semaine, une fenêtre météo favorable était prévue. Dans la matinée Laurent de « Aquitaine Montgolfière » nous contacte pour nous donner rendez vous à Navarrenx pour 17h30 pour effectuer un éventuel vol, si la prévision se maintien.

 

 

 

 

 

 

A l’heure prévue nous faisons la rencontre de Laurent et Philippe, le premier sera notre pilote pour ce vol, le second assurera le suivi au sol et notre récupération à l’endroit où le vent voudra bien nous porter.

T ous deux préparent la montgolfière avec l’aide de curieux très intéressés par la présence de cet engin sur le circuit de leur promenade..

                                                     Rapidement le ballon est gonflé, quelques coups de brûleur pour le faire monter au dessus de la nacelle.

 

  Et nous sommes invités à embarquer. La première impression c’est qu’avec les brûleurs nous n’aurons certainement pas froid, puis lentement nous quittons le sol avec une impression de douceur surprenante pour qui a déjà une petite expérience sur divers engins volants.

Très rapidement nous prenons de l’altitude. Nous monterons comme ça jusqu’à 1200m pour chercher un éventuel mouvement d’air qui nous permettrait d’effectuer une boucle et de revenir nous poser au point de départ ; Mais ce ne sera pas le cas. La sensation à cette altitude est bizarre, même pour un ancien parachutiste, être à   1200m dans une nacelle en osier et rien autour, c’est vrai que ça rend les jambes un peu molles. Alors je vous dis pas pour Martine !!!!

                                                                                                                                                    

Ne trouvant aucun souffle pour nous transporter à cette altitude, Laurent nous fait redescendre au niveau de la canopée ou nous bénéficierons d’une brise légère, mais suffisante, pour nous déplacer.

 Mais avant nous n’avons pas oublié de profiter du spectacle que nous offre les Pyrénées et notre position privilégiée, ce n’est pas tous les jours que l’on dispose de ce type de panorama à 360°

 

  

 

 En grattant sur la cime des arbres nous passons la ligne de crête et nous retrouvons sur la plaine.

Une brise, toujours très douce, nous pousse calmement vers le village de Lay Lamidou.

      Laurent cherche un endroit propice au posé tout en survolant le village. Il choisit un chemin goudronné   entre une murette et une ligne de platanes. Nous sommes un peu inquiets cela nous parait très étroit pour un gros ballon comme celui-ci.

Mais au final le poser est aussi doux que le décollage, la nacelle est au sol et le ballon reste gonflé au dessus.

Laurent nous fait débarquer et fait remonter le ballon de quelques centimètres et nous aidons Philippe à le tirer dans le pré juste à côté. Et la c’est le dégonflage et le rangement.

L’aventure se termine de façon conviviale autour d’une bouteille de Champagne.

 

Il nous reste le souvenir d’une belle après midi passée entre ciel et terre.

 

MERCI à Laurent et Philippe pour leur patience, leurs explications et leur gentillesse. C’était une excellente expérience.

Plan du vol

Lundi 28/05/2012, enfin une météo qui ressemble au printemps, donc une occasion, après plusieurs mois sans sortie en montagne, de reprendre les bonnes habitudes.

Nous commencerons donc l'année par une petite promenade dans les "montagnes à vaches", ou plutôt à moutons, pour nous remettre en jambes. 

 

 

 

   C'est donc au dernier moment que nous décidons de monter au Port de Castet pour une petite rando (ou plutôt promenade) 6 ou 7 Km pour 300m de dénivelé.

 

 

 

 

   Nous profitons de cette balade pour observer, outre le paysage toujours agréable, la flore  très colorée de cette fin de printemps ainsi qu'une faune volante pas toujours accessible avec le petit Lumix.

 

 

  Quelques images de la ballade

 

 

 

 

La Flore

 

Les fritillaires des Pyrénées

 

 

 

 

Les gentianes

 

 

à feuilles etroites

 

 

 

 

                                                  Printanières en compagnie de Polygalas des Alpes

 

 

 

L'ortie  ou Lamier jaune

 

 

 

 

Des orchidées sauvages qui commencent à passer

 

Orchis majalis

 

 

 

 

Bugle Rampant

 

 

 

 

Alors que les asphodeles arrivent

 

 

 

 

Quelques Pavots du pays de Galles

 

habité...

 

 

et l'érodium de Manescau

 

 

 

 

 

 

 

 

Et la rencontre avec l'aglaïs Uricaé

 

Plus connu sous le nom de "Petite tortue"

 

 

 

 

      Le tour se termine par une petite halte sur le banc de" la bordo deu soum"

 

 

 

 

 

  MERCI à mes camarades Henri et Christophe pour le partage de leurs connaissances et botanique, m'ayant permis de nommer toutes ces belles fleurs.

 

 

  Hier soir super météo, je décide donc d'aller squatter la coupole de mon ami Pierre histoire d'utiliser un peu le "Lézardo" que j'ai laissé sur place. Cible du moment Orion, bien entendu, nous commençons la séance sur la tête de cheval et la flamme. Nous découvrons de suite les limites de la lunette "Lézardo", petit décalage d'alignement du doublet  entraînant un décalage des halos autour des étoiles brillantes, un léger chromatisme et surtout l'absence d'un aplanisseur de champ entraînant une déformation des étoiles sur les bordures. Défaut qui s'amplifie avec l'augmentation du temps de pause, ce qui est nécessaire pour notre première cible. La nébuleuse de la Flamme et la nébuleuse sombre de la tête de cheval.

 

 

   Puis pour rester dans le même secteur nous pointons M42 pour quelques images avant que Orion bascule derrière les arbres.

Aujourd'hui la météo ne permet pas trop de regarder le Soleil, je me rattrape en faisant un d'ornithologie dans mon salon. C'est l'heure du repas pour les Verdiers, mésanges, rouge-gorge et Chardonneret. Le Nikon D80 monté sur le 500m le tout sur pied photo.... Comme pour la Lune en fait, sauf que les oiseaux, eux ils bougent.